Le principe de l’assurance se base sur la loi des grands nombres et une union réciproque dépend souvent du fait d’avoir suffisamment d’assurés pour couvrir les pertes de chaque assuré. La souscription à une union réciproque de trop petite taille peut donc être risquée pour le membre.
De plus, bien que les coûts de démarrage soient moins élevés que pour d’autres véhicules d’assurance, il y a des coûts qui doivent être couverts, notamment la rémunération du mandataire et tous les frais organisationnels. Lorsque le groupe est trop petit, ces frais peuvent faire grimper les primes pour les souscripteurs.
Le groupe de souscripteurs de l’union réciproque doit également être investi et prêt à accepter de prendre en charge les pertes en tant que groupe, et à franchir toutes les étapes pour former une union réciproque. La plupart des unions réciproques visent certains groupes ou associations, leur permettant d’avoir un vaste bassin de souscripteurs ayant des besoins et intérêts communs, réduisant ainsi le risque de chacun.
Lorsque la taille d’une union réciproque est assez grande, les souscripteurs ont le même niveau de protection qu’avec tout autre type d’assurance.